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N'hésite pas à le le tutoLes motards nous kiffent et ça fait plaisir La caverne d'Alibaba pour la moto"Tous les produits adaptés à mes besoins et ma moto dispo sur un seul site"- VincentUne réputation qui n'est plus à faire"Des produits ultra efficaces, pratiques et bien pensés. La motarde que je suis vous remercie"- StéphanieLivraison rapide comme ma moto"Livraison en 2 jours et produits conformes à la description et de super qualité. What else ?"- Alexandre Achetezt-shirts J peux pas j ai moto. Des designs originaux réalisés par des artistes passionnés. Livraison rapide. Jusqu'au 5XL. Cadeau idéal. LIVRAISON GRATUITE Des designs originaux réalisés par des artistes passionnés. La population des conducteurs de deux-roues motorisés se diversifie de plus en plus de très jeunes, de femmes, mais aussi de moins jeunes, voire de motards franchement âgés. Certains n’ont jamais cessé de rouler, mais beaucoup s’y mettent sur le tard ou reprennent la moto après avoir eu leur permis il y a 20 ou 30 ans. J’ai voulu débuter cet article par le récit d’un motard internaute rencontré sur un forum, Yves, 54 ans, de Pont-Saint-Esprit Gard. Un texte plein de passion, très bien écrit et instructif à tous égards. Ça faisait bien deux ou trois ans que je caressais l’idée, mais celle-ci, sans doute un peu frigide, avait du mal à grandir, à prendre forme. Pourtant dès que l’été pointait son museau, les routes s’animaient, coincé dans la file des vacanciers et autres promeneurs dominicaux. Je les enviais, eux qui remontaient les files d’englués. Ho, bien sur, ils devaient avoir un peu chaud sous leur cocotes-minute à hublot. Tandis que moi, hein, la clim’ à fond, la stéréo dans le même état, qu’est-ce que j’étais… CONFORTABLE, mais bon dieu qu’est-ce je m’ennuyais… J’aurais tout donné, enfin presque, faut pas déconner tout de même, pour être à leur place. Mais voilà, la vie, la routine, l’habitude et l’âge peut-être… Sûrement même… Impossible de franchir le pas. Oh, bien entendu, il y eut quelques tentatives pour le franchir, ce satané pas… L’achat de revues spécialisées, la compulsion avide des spécial essais »… L’entrée timide dans des boutiques, le désir rivé au coeur, la langue pendante. L’échange de quelques mots anodins avec les employés commis d’office, qui visiblement ne comprenaient rien à mon état… Faut dire que je dissimulais bien… S’ils avaient pris le temps de me toucher la main, comme on dit ici, ils auraient illico senti mon excitation à la vue des objets de mon désir, et couru chercher un rouleau d’essuie-tout. Mais que nenni, aucun n’a sacrifié à cette ancestrale coutume et de là, p’ête bien raté une vente. Puis l’hiver reprenait ses droits gelant le paysage et mes envies… Jusqu’au printemps suivant, où tout recommençait… Les revues, les boutiques et la mémoire de ces lointains souvenirs les balades avec les potes, le vent dans le nez, les poignets douloureux, le cul tanné, le dos bloqué, les mains gelées, les yeux qui piquent, en sueur ou congelé selon la saison, le cœur à deux cents pulsations minutes après un peu trop d’optimisme… Enfin rien que des bonheurs, quoi ! Mais voilà, rien n’y faisait… Et puis, et puis ce printemps, 54 au compteur, le temps commence à presser, pour la énième fois, je pousse cette maudite porte, furète, touche, imagine, compte ben ouais faut bien tout de même… Et là… Je m’avance vers le comptoir, les mains moites, les pieds poites et le reste à l’avenant ça fout l’trac hein !. L’employée commise d’office, ben ouais c’était une fille, lève un œil torve vers moi, je me fais l’impression, au milieu de tous ces jeunots bottés, encuirés, d’être autant à ma place qu’un rappeur à l’Académie Française. Reprenant un peu d’assurance, je lui explique mon cas, j’en recherche une, pas trop grosse, pas trop chère, pas trop pourrie… Je lis dans ces yeux la perspective d’un bonne affaire pour elle, oeuf corse. Elle consent à faire le tour de son comptoir et me précède à l’extérieur… Elles sont trois une grosse, une chère, une pas trop chère, pas trop grosse et pas trop pourrie. Bon, je n’aime pas la couleur, mais on ne va pas pinailler non plus, hein ! Allez, donnez-moi les renseignements que je contacte mon assurance pour voir si c’est jouable… De retour chez moi, je saute sur mon ordi, comme les paras sur Kolwezi, la sueur au front, le doigt tremblotant j’suis pas un Mozart du clavier et quelques minutes plus tard, le devis de l’assurance s affiche… Super, c’est jouable… Où j’ai foutu mon portable, ha ! Il est dans la voiture, j’y cours… Zut les clés ? Longues et macabres sonneries dans le vide, qu’est-ce qu’ils foutent, nom de Dieu… Ah oui tiens, il est midi passé. Attendre 14h00, ça va être long… La fourchette en l’air, je rêve… Je m’y vois, m’y sens en fait, j’y suis. 14 heures, 0 minute et 1 seconde… Dring, dring, dring. Le cœur bat la chamade… - B’jour, chuis v’nu ce matin, vous savez pour la … » - Désolé, m’sieur, mais elle a été vendu juste après votre départ… » Patatra, tout s’effondre, je suis maudit… - Mais repassez de temps en temps, surtout à l’automne nous rentrons de bonnes occasions… » - Bon ben tant pis, ce n’est pas grave… R’voir M’dame… Oui, c’est ca … À bientôt…» Je raccroche, à l’automne, non mais tu rêves, c…asse, p…asse et tout plein de mots en ASSE pas polis du tout… C’est maintenant que je la veux… Retour dans le fauteuil, le moral en berne… Et puis lentement, le dialogue intérieur s’installe. Après tout hein, l’était pas mal la grosse… Oui mais ça fait longtemps que tu n’as pas pratiqué. Soit, mais tu n’es tout de même pas un novice… Certes, mais plus de 15 ans d’abstinence, ce n’est pas rien… Tu parles, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas… Ah ouais, et l’assurance, t’y as pensé à l’assurance, banane ! Retour sur l’ordi… Quoi ? Le numéro du type dans la série, la puissance fiscale… Mais je n’en sais rien moi… Après quelques hésitations, approximations et agacements, j’ai un devis approximatif… Mouais, un peu plus cher, mais ça va. Allez, on va dire que ça va. Vite le téléphone… Et puis non, j’y vais… Elle est là, la grosse, posée légèrement de biais, brillante, aguicheuse… Je m’approche, la couve du regard, ose une main sur ses formes rebondies, sa croupe massive … Elle est séduisante, la bougresse… Je craque… Je pousse la porte, décidé, conquérant… Saperlipopette, y’a un monde fou… Je prends ma place dans la file… Surtout, ne réfléchis plus… T’as pris ta décision, non ! Enfin, c’est à mon tour, sourire de l’employée. Je me lance… Bon, j’ai réfléchi, je crois que je vais opter pour la grosse… » Sourire carnassier de la vendeuse. Bon choix, Monsieur, c’est une bonne machine… » Tu parles, tu ne vas pas dire que c’est une daube… Vous pouvez me donner quelques infos ? » Le sourire de l’employée se fige… Elle fouille sous son comptoir… Me sort une pochette défraîchie d’où elle extrait une carte au gris délavé. J’y jette un œil 1990, ah quand même ! 11 CV, whaou ça va douiller… Je repousse les papiers, et lance le cœur battant C’est bon, je la prends… » Alea jacta est… Huit jours plus tard, je m’avance, comme une profiterole… Rayonnant à l’extérieur, mais glacé de trac dedans. Mes pieds doivent fumer dans mes bottines, mon anorak de ski fait vraiment déplacé par 35° ambiants… Va falloir que je m’équipe… Mais bon, déjà un casque et des gants… Pour le reste, on verra après… Je pousse la porte, personne… Prendre un air détaché, paraître cool, ne pas montrer l’excitation teintée d’angoisse qui fait faire des huit à mon estomac. Ca y est, j’y suis, le casque à la main, le sourire jusqu’aux oreilles je m’approche de ma grosse, qu’un mécano en cotte graisseuse fait chauffer à grands coups de gaz Hey ! Doucement Totor, respecte un peu son âge… à MA grosse… » Je l’enfourche, une boule de la taille d’une boule de pétanque m’écrase le larynx. Le mécano m’explique un tas de choses que je n’entends pas… L’esprit entièrement braqué vers le moment, tout proche, où il va falloir démarrer et surtout ne pas caler. D’autant plus qu’une horde de badauds du moins dans mon souvenir nous observe, j’suis sûr qu’ils attendent tous le moment qui m’angoisse tant. Si nous étions en Angleterre, les bookmakers prendraient déjà les paris 10 contre 1 qu’il cale le papy, l’est trop grosse pour lui… Tenu, va y arriver, il a l’air d’avoir de l’expérience… Après un dernier sourire, un peu jaune en direction de la foule, j’enfile le casque… Nom de Dieu comment ca s’attache cette bougrerie de mentonnière… Ah, ça y est… D’abord le gant gauche, puis le droit… J’suis l’Zizou de la métaphore ! Ma grosse ronronne entre mes cuisses tremblantes. Embrayage… Merde la béquille… Klong… Première… La sueur ruisselle sous l’intégral… Accélérer, pas trop… Lâcher doucement l’embrayage… CA ROULE…YEAH… Allez soyons fous… Seconde… Ça hoquette un peu… Tu parles à 15OO tours… Mince le portail, et cet abruti qui choisit précisément ce moment pour entrer… Frein… Whaou… Ça change du double cames… Si ça avait été une cour gravillonnée, j’étais bon pour un billet de parterre…Coup d’œil d’abord à droite, puis à gauche…Tais-toi Zizou ! Clignotant… Embrayage…Klong… Première… Et c’est parti… Seconde… Troisième… Premier carrefour, rétrogradage avec petit coup de gaz, je m’la pète… Mais ou’s’qu’il est donc, ce satané point mort… Petit voyant vert… Ah le v’la. YEAR… Lettres bleues sur fond blanc, barrées de rouge… Longue ligne droite Troisième… 8O… Quatrième…110 … Cinquième… 130… Le pied… Mais on se calme Papy, y’a un rond-point pas loin… Le v’là… Ne pas se louper… Rétrogradage, freinage… J’y suis, je penche, enfin c’est l’impression j’ai… Car en fait, j’suis sûr que votre petit dernier me faisait l’intérieur sur son tricycle sans lâcher son chupa chups… Longue montée, ma grosse ronronne, allez Papy voit ce qu’elle a dans le ventre ! Feulement rageur dans les tours… Merde… 140… Rends la main… Surtout qu’un monospace familial se traîne lamentablement… Allez j’y vais, clignotant, coup d’œil dans le rétro… Sont jolis mes coudes… Gazzzzz, rataploc, rataploc… Eh ! Papy t’es à 50 en cinquième… Allez deux d’un coup, Gazzzzzz… Waouh… Ca arrache les bras… Même pas vu les gens dans l’monospace… Béquille, p’tit coup de gaz pour le fun, neiman. Une p’tite caresse à ma grosse.. Ad’taleur… La greffe a pris. Et puis j’l’aime bien ma mémère, 17 ans certes, mais une pêche de jeunette… Ya pas , le virus est de nouveau installé… » Pour info, la grosse » d’Yves est une Yamaha 1200 FJ. Yves précise que son texte se veut avant tout humoristique et comporte beaucoup de second degré. Pour ma part, je rappelle que je ne connais pas Yves personnellement et que les enseignements que je tire de son texte ne se fonde que sur la lettre de son récit, pas sur sa personne. * * * Qu’Yves ait romancé la vérité ou non importe peu ce que dit son récit illustre à la fois la passion et les pièges qui attendent les born again riders , ceux qui reprennent la moto après des années d’interruption. On en a vu une illustration dans le film Wild Hogs » Bande de sauvages » en français. * * * Ils ont entre 35 et 60 ans, sont plus ou moins libérés des contraintes familiales les enfants sont grands, madame travaille ou vit sa vie, la maison est payée, ils ont plus ou moins réussi dans la vie ou sont en tout cas à l’abri du besoin. Leur jeunesse motarde, finalement pas si lointaine, a laissé des traces ou alors, ils ont enfin les moyens de réaliser l’envie qu’ils ont toujours eu de faire de la moto. Ces motards exigent souvent le nec plus ultra », autant pour l’objet moto lui-même et son esthétique que pour les sensations qu’il procure vitesse, liberté… avec plus ou moins de sécurité. Ils ont aussi les moyens de leurs ambitions, non seulement financiers, mais aussi parce que leur assureur reprend souvent leur bonus acquis par des décennies de conduite automobile, ce qui leur évite la surprime appliquée aux conducteurs débutants et leur permet de prendre de grosses » motos, trop puissantes pour débuter. On en retrouve une partie au guidon de supersportives très nerveuses, une autre sur de gros customs confortables mais lourds, et les derniers avec de grosses routières ou GT valorisantes très lourdes. Alors qu’ils n’ont plus roulé depuis des années et n’ont souvent pas cru bon de reprendre des cours de conduite, persuadés que la moto, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Malheureusement, le résultat logique ne se fait pas attendre… On observe un accroissement de la proportion des plus de 30 ans dans les accidents de moto. Depuis quelques années, on observe un fort pic de mortalité chez les motards entre 40 et 50 ans, voire 55 ans. Je vous fais partager l’analyse du commandant de police Jean-Luc César, ancien patron de la CRS autoroutière des Bouches-du-Rhône À mon sens, il y a deux principaux profils à risques des jeunes de quartiers qui mettent tout leur fric dans des grosses cylindrées, des gros scooters surpuissants notamment que l’on a même du mal à rattraper, et des gens d’âge plus mûr mais qui sont toujours pressés, pour le boulot souvent, et qui font n’importe quoi juste pour être à l’heure à leur rendez-vous. Ces derniers ont d’ailleurs souvent décidé d’arrêter la voiture dans ce but et parfois n’ont pas fait de moto depuis 20 ou 30 ans. Ils devraient être remis à niveau… Le voisin d’une amie s’est tué à l’été 2006 sa femme lui avait offert une moto pour ses 40 ans, il n’a pas repris de leçons, il est parti peu après rouler sous le cagnard. Des témoins ont dit l’avoir vu passer sans casque. Il est sorti de la route un peu plus loin et a été tué sur le coup, choc à la tête. Marié, deux enfants… * * * Le récit d’Yves montre tous les problèmes que peuvent engendrer l’impatience trop impatient pour reprendre des cours de conduite, pour s’acheter l’équipement motard de base avant de prendre le guidon… A quoi servent les années, si ce n’est à acquérir la maturité et la sagesse qui devraient justement empêcher de reproduire les erreurs des jeunes débutants ? Beaucoup de motards de 40 ou 50 ans que j’ai rencontrés supportent mal de recevoir des leçons c’est du moins l’impression qu’ils ont de la part de quelqu’un de plus jeune. La plupart occupent des postes importants, exercent des responsabilités, ils ont bâti et réussi leur vie, leur carrière, leur famille. Il est compréhensible que pour eux, cette réussite doive se prolonger dans leur pratique de la moto, même s’ils n’en ont jamais fait, ou peu, et/ou il y a fort longtemps. L’assurance que donnent l’âge et la maturité fait parfois oublier l’humilité. Rouler à moto peut être le pied intégral. Mais comme vous le disent votre femme, votre mère, vos amis, c’est dangereux ! » Si vous re-commencez à rouler autour de la crise de la quarantaine ou cinquantaine, vous devriez vous interroger sur vos motivations et vous assurer que cette envie perdurera plus longtemps qu’un simple caprice et que vous savez réellement dans quoi vous vous engagez, car cela pourrait bien vous tuer. Car oui, ceux qui roulent mal à moto finissent au minimum gravement blessés. A moto, l’insouciance se solde dans 99% des cas par la mort ou un état proche… Cela vous fait peur ? Tant mieux. Les motards paranos restent en vie. Lire l’article La notion de risque à moto . Un tiers des accidents de moto avec ou sans autre véhicule impliqué concerne des motards de moins de deux ans d’expérience, et le risque est maximal dans les six premiers mois sur une nouvelle moto. C’est pendant cette longue période que l’on est le plus vulnérable. Et encore, deux ans avec une activité motarde normale ». Si vous roulez moins de km par an en deux-roues, vous n’apprenez rien, même au bout de dix ans. Et si vous êtes resté plusieurs années sans rouler à moto, reprenez des leçons ou suivez un stage, car vous avez retrouvé le niveau d’un débutant. Lire l’article Perfectionner sa conduite moto . Dire j’ai 30 ans de permis moto » ne rime à rien après 20 ans d’interruption ou de peu de pratique. Le nombre d’années de permis n’est pas un critère d’expérience en soi. On n’apprend rien quand on ne roule pas. C’est la pratique, le nombre de kilomètres parcourus et la variété de ceux-ci qui comptent le plus. La moto, ce n’est pas comme le vélo, ça s’oublie. Le monde change, la route n’est plus comme il y a 30 ans. Vous le voyez tous les jours au volant de votre voiture. Pourquoi l’oublier au guidon de votre moto ? Lire l’article de Marie Spirit of TT » Remonter en selle ? Osez ! » * * * Pour vous remettre en selle après des années ou des décennies sans pratique moto, vous avez trois approches possibles. Primo, vous entraîner par vous-même. Lisez les différents articles de la rubrique Mieux conduire. Et tout particulièrement l’article Remonter en selle après avoir arrêté. Secundo, prendre des cours dans une école de conduite moto. Problème, dans la quasi-totalité des écoles, on vous proposera juste de vous intégrer à un groupe d’élèves en formation initiale, pour enchaîner des parcours d’examen plateau sur une moto d’école. Aucun intérêt quand on possède déjà le permis… En revanche, vous pourrez avoir l’utilité d’une à deux heures de cours de type initiation, juste pour vous réapproprier les commandes, le maniement de base de la machine. Vous pourrez également demander à suivre deux à trois heures de cours en circulation, ce sera toujours utile. Tertio, vous pouvez choisir de suivre une formation adaptée à vos besoins, avec votre moto, auprès d’un formateur spécialisé Passion Moto Formation. Navigation de l’article Ilest venu me voir pour en parler et je lui ai dit "si tu ne veux pas relever ce genre de défi et gagner ta place, c'est sûr que tu peux partir". Résultat il est resté, avec la carrière Hoodies straight cut & round neck 100% Polycotton very comfortable to wear Made in France Achetezle maintenant! 🚚 Livraison GRATUITE dans le monde entier sur toutes les commandes de plus de 65 EUR ! Tasse avec mousqueton – J’Peux Pas J’ai Moto Humour Cadeau Drôle Motorcycle Motard Tasse. Tasse à usage extérieur en acier inox et résistante avec poignée à mousqueton vissé pour la randonnée, le voyage, l’escalade, l
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